3 réponses sur “les mots bleus de nuit s’effacent”

  1. Aux portes des confins,
    Les couleurs de l’absence,
    Forment en apparence
    Des yeux de Séraphins.

    Ces miroirs dans le ciel
    Evincent les noirs nuages
    En baumes et voyages
    A la douceur du miel.

    Cela délivre un peu
    L’être de son empire
    Sur les sorts à construire
    En attendant l’Adieu.

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