Perdus sur la page,
des mots inconnus t’assaillent
brûlure soudaine à l’âme
la main avait caressé l’infini
(journal des mots n°70 / 21 avril 2012)
île de mots…
Perdus sur la page,
des mots inconnus t’assaillent
brûlure soudaine à l’âme
la main avait caressé l’infini
(journal des mots n°70 / 21 avril 2012)
Dans l’effervescence de l’orage
les mots furieux
sont les tourbillons
de nos vies suspendues
(journal des mots n°69 / 19 avril 2012)
il suffirait d’un pas
pour marcher dans le ciel
celui des horizons perdus
où savoir parler d’amour
aux nuages qui passent
et nous ignorent
n’est pas un rêve.
d’après le photoblog My Rainy Days , inspiré par la photo In the sky
Apprécier la chaleur
les mots intimes
caresses si profondes
que le corps s’en réjouit.
(journal n°68 / 18 avril 2012)
Méfiance!
Les mots ne sont pas que des promesses
Ils créent des utopies
Prêtes à nous prendre
A la gorge
(journal des mots n°67 / 16 avril 2012)
D’un souffle à l’autre
les mots se sont défaits
et la folie scintille
ne pas rentrer dans son château
(journal des mots n°66 / 15 avril 2012)
Les mots nuage écrivent en blanc
toute l’incertitude d’une âme
qui ne saurait
se réinventer
(journal des mots n°65 / 14 avril 2012)
en clin d’oeil à ma rencontre avec A.C-S
Se réjouir d’entendre
les mots du philosophe
d’évidence
il n’y a pas d’amour malheureux
(journal des mots n°64 / 12 avril 2012)
Avec les beaux jours
les mots tulipes s’ouvrent
à qui sait écouter
derrière les pétales.
(journal des mots n°63 / 10 avril 2012)
Dans la forêt des phrases
les mots sont plein d’inquiétude
quand le point s’absente
il y a trop d’infini.
(journal des mots n°62 / 9 avril 2012)